Première chronique d'automne: de la civilité comme fondement de la démocratie
En lisant Le Devoir, édition du 18 septembre dernier, j'ai eu le plaisir de tomber sur un article intitulé "De la civilité comme fondement de la démocratie". Selon l'auteur Mark Kingwell (http://www.ethics.utoronto.ca/index.php?p_id=81&id=4) l'incivilité aurait pour conséquence de nuire au développement social de l'ensemble d'une communauté. D'ailleurs, dans l'édition du 20septembre on faisait la une avec la nouvelle "retour de la civilité au Parlement".
Y a t il une différence entre incivilité et impolitesse? La question est lancée...
On n'a qu'à voir ce que certains vivent dans leur milieu de travail. Souvent les courriels lachés sous le coup de la colère rendent difficile toute cohabitation harmonieuse et respectueuse. Il a été dit que la politesse facilite les comportements au travail. Nous avons le droit de ne pas aimer un voisin, un collègue mais avons nous le droit de le lui dire?
De la même façon, renvoyer tous ses appels vers la boîte vocale, ne pas mettre son téléphone portable en mode vibration lors de rencontres peut être considéré par certains comme un flagrant manque de savoir vivre.
Y a t il une différence entre incivilité et impolitesse? La question est lancée...
On n'a qu'à voir ce que certains vivent dans leur milieu de travail. Souvent les courriels lachés sous le coup de la colère rendent difficile toute cohabitation harmonieuse et respectueuse. Il a été dit que la politesse facilite les comportements au travail. Nous avons le droit de ne pas aimer un voisin, un collègue mais avons nous le droit de le lui dire?
De la même façon, renvoyer tous ses appels vers la boîte vocale, ne pas mettre son téléphone portable en mode vibration lors de rencontres peut être considéré par certains comme un flagrant manque de savoir vivre.
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